Sons et lumières sur un Keylogger virtuel
Pour ne pas être victime d'un outil de capture de frappe clavier (keylogger), les banques -enfin, certaines banques- proposent de ne plus utiliser ledit clavier. L'entrée d'un identifiant et d'un mot de passe fait alors appel à un pointage de la souris sur un clavier virtuel affiché sur l'écran. Clavier dont la disposition des touches peut être changé à loisir. Imparable, s'exclament les doctes développeurs du monde de la finance. Poudre aux yeux rétorque Nicolas Grégoire d'Exaprobe, lors d'une démonstration publique d'information. La preuve en image et en texte sur le site de l'intéressé. Ingestion fortement déconseillée aux banquiers, particulièrement après les repas ou avant de se coucher.